8 Mars 2020

Publié le par Patrick

Après Shirley Walker, Rachel Portman, Béatrice Thiriet, Jocelyn Pook, Anaïs Pajot,, Anne Dudley, Lisa Gerrard, Mica Levi, Sarah Schachner, Debbie Wiseman, Sarah Class, Maïdi Roth, Carly Simon, Sally Potter, Björk,  Camille  et Wendy Carlos dont je vous avais parlé les années précédentes, voici Hildur Guðnadóttir, Nainita Desai, Anna Cordonnier, Hayat Selim, Laura Karpman, Anna Rice, Sarah Caitriona Lynch et Aleksandra Maghakyan. Oui, pour cette nouvelle Journée Internationale des Droits des Femmes, j'ai eu envie, comme je le fais régulièrement lorsque je découvre de nouvelles musiques ou chansons qui m'enchantent (Sandrine Rudaz, Carly Paradis ou Zuzana Michlerová) de faire une playlist et un article sur toutes ces talentueuses compositrices.
Parmi ces brillantes compositrices,  il y a donc  Hildur Guðnadóttir (Joker, Chernobyl) et son  dernier titre Fólk fær andlit , une bouffée d'air frais pour un morceau invitant à la sérénité avec cette douce musique et cette voix envoûtante.  Le deuxième est un extrait (Wild Boars) du documentaire, România neîmblânzitã composée par  Nainita Desai (Darkness visible) très ample, commençant intensément, s’accélérant puis devenant superbe où l'on imagine une longue étendue,  à perte de vue. Prochainement, je vais vous parler de la B.O. d'un court métrage composée par Anna Cordonnier et Amandine Robillard mais, avant ça, j'avais envie de partager ce titre, très court,  Introduction. En peu de temps, il arrive à nous transporter dans une autre époque, pleine de rythmes et de joie. Entraînant. La seconde, Lettre, est un très bel extrait du spectacle, dont elle a fait la bande originale, en tournée actuellement Midi nous le dira. Hayat Selim faisait partie des finalistes des Quatorzièmes Jerry Goldsmith Awards, avec cette chanson magnifique, Mirage. C'est l'alliance de  la beauté de la musique et de la force de la voix. J'ai rapidement été séduit par l'ensemble. Dans un registre beaucoup plus rapide, 4 Totem Craft OST - Destruction Music (demo 1),  avec aussi une belle mélodie et des chœurs, et toujours cette superbe voix. Ensuite, viennent deux extraits de la B.O. du documentaire De l'homme à la haine (Why We Hate), composée par Laura Karpman. Des titres très intenses dont l'excellent Commit Violence. Why We Hate, quant à lui,  débute dans la douceur puis devient de plus en plus noir. Anna Rice nous emmène non pas dans des époques différentes mais vers des lieux lointains, avec parfois, une grande puissance, s'intensifiant (Yangqin & Thunder) ou de la beauté nous transportant (Sahara). Sarah Lynch faisait aussi partie des finaliste des Jerry Goldsmith Awards et je savais que j'allais vous reparler d'elle vu la somme de titres qui m'ont emballé. Comme il a fallu choisir j'ai mis Angel of the North, un morceau évoluant, avec des chœurs et un magnifique thème. Le second, Transient Thoughts,  je l'avais déjà mis dans une précédente playlist mais vu qu'il est encore plus beau que le précédent, avec de superbes envolées dont je ne me lasse pas,  je ne pouvais pas ne pas le mettre. La playlist se termine avec Aleksandra Maghakyan sur le film The legend of seal. Une très grande musique d'aventure avec des chœurs pour lui donner encore plus d'ampleur.

Publié dans 2020, Spécial, 8 Mars

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